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Il est également possible d’emprunter un train direct Paris – Persan-Beaumont (TER Picardie) puis la ligne Pontoise – Creil pour un temps de parcours parfois légèrement inférieur en fonction des correspondances. Les services ferroviaires sont assurés par le Transilien de la SNCF, ligne H. Les temps de parcours vers Persan-Beaumont et Paris sont respectivement de 9 et 48 minutes en trains directs les plus rapides. Pour se rendre à Paris, les Adamois motorisés préfèrent parfois emprunter les trains directs du TER Picardie depuis la gare de Persan – Beaumont (trajet de moins d’une demi-heure) ou, à Montsoult, les trains Transilien circulant sur la ligne Persan-Beaumont par Montsoult-Maffliers, gare également reliée par un service de cars à la ville. Le stade Bourbaki, propriété de l’Association Bourbaki, a été utilisé par le FC Pau dans les années 1960. Bien que le club Bourbaki ait été le club phare de la ville au début, il a accordé l’utilisation de ses installations au FC Pau après que ce dernier soit devenu le principal club de football de la région. Il s’agit d’une ancienne usine de production de gaz par distillation de la houille, démolie en 1965 et utilisée de 1936 à 1967 comme simple station gazométrique.

La commune est alimentée en eau par la station de traitement de Cassan, située sur la commune et gérée par la société Lyonnaise des eaux. Plusieurs étangs et plans d’eau se rencontrent sur le territoire communal, dont notamment l’étang des Trois Sources dans le bois de Cassan, les étangs de la Garenne, les mares et plans d’eau du parc de Cassan, un plan d’eau dans la forêt au nord du domaine des Forgets et un autre dans le domaine du Vivray, alimenté par le ru du même nom. Trois petits ruisseaux affluents de l’Oise traversent également le territoire communal : il s’agit du ru du Bois au nord du centre commercial Le Grand Val, le ru du Vivray à la sortie sud de la commune, avant le hameau de Stors, et le ru du Vieux Moutiers plus au sud encore, au-delà du château de Stors. La situation géographique de L’Isle-Adam rend la commune particulièrement vulnérable à des risques naturels : d’anciennes zones de carrières se situent dans le sous-sol et constituent des risques d’effondrement en milieu urbain (au hameau de Stors, en lisière de forêt ou aux environs du château des Forgets).

La dénivellation entre le point le plus bas de la commune au bord de l’Oise (23 m) et le point le plus élevé dans la forêt (117 m) est de 94 mètres. » La réalité la plus tangible du monde est toujours présente dans ses romans. La ville se présente comme un plan incliné en direction de l’Oise dont le sommet se situe à l’est dans le massif forestier. 6,73 km2. Malgré sa population relativement élevée qui la situe entre Arnouville-lès-Gonesse et Fosses (11 163 habitants à L’Isle-Adam en 1999 pour 6 205 de moyenne par commune dans le département et 3 999 dans l’arrondissement de Pontoise), la densité de 756 habitants au km² est inférieure à la moyenne du Val-d’Oise (887 habitants au km²) du fait, d’une part, de la superficie importante de la commune et, d’autre part, manchester united maillot 2024 de la portion de cette surface occupée par la forêt. La commune comprend par ailleurs un peu plus d’une quarantaine de sites recensés dans la base de données BASIAS d’inventaire d’anciens sites industriels et activités de service.

La RD 922 constitue quant à elle l’axe routier nord-sud de la ville sous les noms de rue de Beaumont et de Pontoise et coupe l’avenue de Paris à peu près au centre de la commune. Elle continue au nord à travers le bois de Cassan jusqu’au centre commercial Le Grand Val, permet une jonction à nouveau avec l’autoroute A16 et la route nationale 1, et, après avoir pris le nom de départementale 922, se poursuit, via Mours et Beaumont-sur-Oise tout le long de la limite nord du Val-d’Oise jusqu’à la Seine-et-Marne à l’est (sous le nom de D 992E à partir de Luzarches). À la fin de la saison 2009-2010, Benstiti voit son contrat d’entraîneur non prolongé, après avoir pourtant mené l’OL féminin en finale de la Ligue des champions féminine. Le club se sauve de la relégation en battant AC Ajaccio 4 à 0 en barrage de relégation aller-retour après avoir terminé 18e du championnat. Il revient à Lens pour 2 saisons avant d’être transféré à l’Olympique lyonnais, où il reste pendant 7 saisons, de 1997 à 2004. Avec le club rhodanien, il remporte notamment trois titres de champion de France et découvre la Ligue des Champions.

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